Catastrophe, desespoir : mon fidèle velo, compagnon de toutes mes escapades en ville, toujours vaillant depuis 7 ans à disparu...Je me souviens, lors de son acquisition, avoir consulté l'agence MAIF, et m'être entendu répondre qu'il était couvert contre le vol par mon assurance habitation...Sans me faire trop d'illusions je déclare donc ce vol...Contactée par une personne très empathique de la MAIF, je me sens ecoutée, comprise...Cette personne était elle adepte du vélo, écologiste convaincue ou simplement humaine et consciente des valeurs que supporte la mutuelle qui l'emploie ? En tous cas,elle s'est démenée pour me faire obtenir une valeur supérieure à celle proposée initialement, après s'être renseignée sur la valeur réelle et actualisée de mon vélo, pour me permettre d'en racheter un equivalent...Je n'en suis toujours pas revenue ! Je suis en train d'économiser pour compléter cette indemnisation inespérée...Pourquoi ne pas tenter ce concours ? Et conclure par un tour de magie cette triste histoire de vol qui s'est transformée en une espèce de conte de fée (ou presque !) Merci Madame que je ne connais pas, et merci la MAIF, nous resterons fidèles
Il y a quelques années, j’ai vécu une expérience qui m’a bien chagriné, et je dois avouer que la MAIF a été incroyable.
C’était une nuit sombre, et je roulais seul sur une route de campagne. La visibilité était réduite, et je me sentais fatigué après une longue journée de travail. Bon en vrai, la nuit n’était pas si sombre, et on y voyait plutôt bien, mais ça rend l’histoire plus épique.
Soudain, une ombre furtive sur ma droite, un animal, il déboule presque sous mes roues. Je n’ai pas vraiment le temps de voir ce que c’est, un renard, peut-être un chien ou peut-être même un chevreuil, aucune idée, il fait nuit et tout se passe très vite. Premier réflexe, presque guidé par la partie reptilienne de mon cerveau, je mets un coup de volant pour l’éviter.
Sauf qu’on est sur une route de campagne et la chaussée n’est pas bien large. En tout cas pas suffisamment au goût de mon pneu gauche qui décide d’aller voir si le bas-côté est bien entretenu. Vous l’aurez deviné… je mets un coup de volant de l’autre côté.
Bref, je commence un tango passionnel avec ma voiture, droite/gauche/droite/gauche/le moment est intense, c’est l’amour fou. Droite/gauche/droite/MUR.
Ah ! Fin de la danse, début des ennuis.
Le choc fut brutal.
Premier réflexe, je vérifie que je n’ai pas la mort d’un pauvre animal sur la conscience. Personne en vue. Ouf, le mystérieux inconnu a filé.
Par contre, moi je ne suis pas prêt de repartir.
Je suis donc seul, au milieu de nulle part, je capte un peu, rien qu’un peu et je sens que la nuit va être… longue.
C’est alors que je me souviens de mon assurance auto, la MAIF. Je compose leur numéro d’assistance, en me disant que bon, c’est un peu ma seule solution à cette heure-là. Ils doivent dormir à cette heure-ci ? Ah ben non ! On me répond gentiment. J’explique à quel point j’ai tenté d’éviter héroïquement un lapin, un furet ou peut-être même un zèbre (sait-on jamais).
À l’autre bout du fil, on fait semblant de me croire, on me rassure. On me dit qu’un dépanneur a été appelé ainsi qu’un taxi.
La dépanneuse est arrivée en quelques minutes. À croire que le bonhomme m’attendait.
Le taxi met un peu plus de temps. Il me ramène comme convenu jusqu’à chez moi. À lui aussi, je lui ai expliqué que j’avais tenté de ne pas écraser par pure bonté d’âme un élan, un grizzli ou peut-être un kangourou.
Il m’a écouté et dans sa sagesse d’expert de la route, il m’a juste dit que le plus important, c’était que moi j’aille bien. Et il n’avait pas tort.
Cette nuit-là, je me suis senti entre de bonnes mains, reconnaissant envers la MAIF pour leur réactivité et leur efficacité. Car je n’en menais pas large, seul, en pleine nuit devant ma voiture fumante au milieu de nulle part.
Ma voiture n’a plus jamais roulé et moi je suis devenu fidèle à la MAIF
Antoine venait de commencer sa carrière dans un petit village pittoresque. Un matin d'automne, il se rendit à son travail avec un sourire éclatant. Malheureusement, sa vieille voiture rendit l'âme en plein milieu du trajet, l'abandonnant au bord de la route, entourée de feuilles dorées.
En panique, Antoine se rappela qu'il avait récemment souscrit à une assurance auto avec la MAIF, sur les conseils d'un ami. Il chercha le numéro de leur service d'assistance dans ses papiers et, avec un soupir d'espoir, les appela.
En moins de vingt minutes, un dépanneur souriant arriva, rapidement suivi par une voiture de courtoisie. Antoine, soulagé et impressionné par la rapidité du service, put arriver à temps au travail, à peine quelques minutes en retard.
Cette expérience marqua le début d'une relation de confiance entre Antoine et la MAIF. Il découvrit que son assurance offrait bien plus que des services d'urgence : des conseils personnalisés, des protections adaptées à son métier d'enseignant, et même des initiatives locales de solidarité.
Chaque fois qu'il conduisait désormais, Antoine se sentait protégé, non seulement par une simple assurance, mais par un véritable partenaire. Il apprit à apprécier le soutien d'une mutuelle où l’humain était au cœur des préoccupations, et il n'hésitait jamais à recommander la MAIF à ses collègues et amis. C'était bien plus qu'une assurance, c'était un engagement pour un avenir serein et solidaire.
L'histoire a commencé avec mes parents, puis j'ai eu ma première voiture en 1983, alors...Filia-MAIF à l'époque! Et depuis 40 ans, je suis restée fidèle à la MAIF parce qu'elle me le rend bien!
Mais le plus grand service que m'ai rendu la MAIF, c'était en 2001. Nous sommes partis au ski, j'ai appelé la MAIF à notre arrivée pour souscrire un contrat Praxis. Le dernier jour de ski, mon fils de 6 ans s'est cassé une jambe. Alors, coup de malchance? oui mais coup de chance, la MAIF a été disponible, bienveillante et pendant 6 semaines, nous a accompagné pour que tout se passe au mieux pour notre fils (et pour nous).
Merci la MAIF!